Je le sais 

Où es- tu ? 

J'ai tout relu 

Je ne t'ai jamais revu.

Qu'est-ce que tu fais ?

Je ne sais pas où je vais.

Je te cherche dans mes vers

Tu reviendras un jour ?

Tu n'as fait qu'un détour ?

J'attends encore ton retour.

Ne te fie pas aux autres réactions 

Leur cœur est perdu dans une illusion 

Tu n'as pas fait d'union ?

Ils sont faux, dis-le que c'est faux 

La mort n'est pas venue avec sa faux.

Elle n'a pas marié ton âme à l'autre monde.

Ce n'est pas vrai, je le sais.

Arrête le voyage que tu fais.

Reviens avec nous 

J'en perds mes rimes 

J'étais à mon prime 

Mais ton absence le met en péril. 

Reste, reste encore un peu. 

Ou non, juste revient totalement 

Tu n'es pas mort. 

Je le sais.

AudreyR

Que faire

Ma tête est un grand huit

J'ai envie de prendre la fuite 

Mais est-ce la bonne option ?

Pourtant je vois le tsunami d'émotions

Tu ne vas jamais passer la vague 

Elle fera trop de ravage 

Dit mon cœur, terrifié 

À qui se fier 

Quand ton cerveau te dit tente

Et si ça fonctionne pas, retente 

Soit forte et courageuse.

N'écoute pas te détresse 

Qui a la bonne réponse ?

Un peu les deux, quand on y pense

Mais comment allier les deux

Quand sont opposées leurs vœux.

AudreyR
 

Confidence 

Laisse ton stylo crier tes craintes 

Confie à ta feuille tes états d’âme 

L’encre déverserait tes larmes 

Ces lignes seront ton empreinte

AudreyR 

Coup de vent 

Emporté par le vent 

Le temps est devenu si lent

Dans un silence s’envole ton existence 

En me laissant une absence

AudreyR

Dilemme 

Quand le rôle pèse, 

“Dans la vie un si bon trapèze.” 

Soit-disant d’après leurs propos 

Te prennent-ils pour un sot ? 

Le poids qui avec cette charge 

Tu voudrais tourner la page. 

Qu’en savent-ils de la pression ? 

Qui retient ton cœur en détention. 

Tout cela peut-il bouger ? 

Peux-tu de la routine t’en détacher

Cherches-tu à être délivré ? 

Peut-t-on te libérer ? 

Comme une douce flamme, 

Elle t’offre un dilemme. 

Dans ta vie, un choix unique 

Qui peut défier les lois de la physique. 

Que choisirais-tu ? Tout chamboulé. 

Ou ne rien faire de cette opportunité. 

Regarde le destin attendre déterminé 

Voir sur quel chemin tu vas rouler. 

AudreyR 

Mon rempart 

Quand la nuit vient, 

L’énergie, elle revient 

Pensées turbulentes s'ambiancent 

Pour des heures d’une longue danse 

Pas fatigué jusqu’à toi, 

Je cherche ton refuge 

Toi qui as changé les lois  

Me faisant chuter de ma luge 

Reviens-moi mon compagnon 

N’entends-tu pas ton nom ? 

Comme un besoin, 

Tu m’apportes les soins.

Après une intense journée 

Où conflits internes en nombre sont nées 

Je comptais sur notre rencard 

Pour faire à tout ça, rempart !

AudreyR

Soldat

Sous les balles, elle a trouvé, 

Avec honneur, il est parti 

Se battant pour sa patrie 

Avec dignité il sera remercié 

AudreyR

Chaques mots 

En écrivant, les mots dansent 

En lisant, l’esprit pense 

Le coeur se soulage, 

Qu’importe l’âge. 

Comme une magie invisible

Ni blanche, ni noir

Elle nous habite le soir 

Son impact parfois visible 

Son usage est si minutieux 

Sa portée est impressionnante 

Le mal que ça peut faire est surprenant 

Le nombre de personnes qu'elle peut sauver est conséquente. 

AudreyR

Un simple jeu ? 

Par peur du rejet, tu nourris un “jeu”. Sans voir qu’elle en sont les enjeux. Je ne dis pas que tu as mauvais fond. Ton cœur doit être grand et profond. 

Cependant tu sembles bien ignorant sur des points. Les phrases et les gestes que tu répètes cuisent cette personne à point. Cela te fait sourire, rire ? Et pourtant cela ne devrait pas, tu devrais la retenir. 

Il est vrai qu’elle ne dit rien, qu’elle émet aucune défense ni attaque. Etant donnée qu’au fond d’elle tout s’accumule dans son sac. 

Tout cela, elle tente de le brûler, de le faire partir en cendre. Par des larmes, de la colère, pour ne pas le désespoir la prendre.

Tétaniser d’être seul face à vous, elle plonge dans le silence. Par peur des représailles, elle reste dans l’attente. 

L’attente d’une aide, d’une main, d’un pas vers elle. L’état de son cœur et son âme et réelle. Je ne dis pas qu’elle est parfaite, on est tous maladroit. On à tous, à une seconde chance, droit ?  

Alors même si elle a eu un acte ou un comportement mal pris, pourquoi s’acharner ? Je suis persuadé que nos manières d’être, nos maladresses peuvent-être remanié. 

Vois-tu ou je veux en venir ? Comprends tu ce qu’il y a retenir ? 

J'aimerais que tu réfléchisses à tes raisons, à ce que tu alimentes. Cet harcèlement n’est fort que parce que vous appuyez sur la détente. 

Réfléchis-y, imagine si tu ne suis pas la foule; et que d’autres font de même. Tu verras que la haine appelle la haine, et qu’on récolte la culpabilité que l’on sème. 

La popularité est si éphémère, faut-elle les larmes et la peine ? Tout ça pour quelques mois, années au devant de la scène ? 

Si tu me réponds que oui, je te dirais que la vie arrose les graines. 

Et que je sais ou les regrets et culpabilité mènent. 

Se reprocher la mort de la personne ou dans le meilleur des cas, sa descente en enfer. Dit-moi quand un membre de ta famille va vivre, quand tu seras confronté à l’insomnie que vas-tu faire ?

Je ne dis pas qu’agir est simple, que c’est un chemin des plus tranquilles. mais il apporte tellement, et peut sauver un cœur qui vacille.   

AudreyR  

Avenir incertain 

Glaçante réalité,

Dit-moi si c’est mérité

Toute ces choses qui arrivent 

Laissant des personnes à la dérivent 

Présent instable, 

Est-ce voulu cet imprévu ? 

Bien que certains diront que c’était prévu 

Pour autant nous nous enfonçons dans le sable.

Nos efforts d’aujourd’hui sont-ils retenus ?  

Peut-on encore limiter la casse 

Malgré tout ce qui se passe. 

Futur méconnu ? 

AudreyR

Mirar 

Regarde-nous, 

L’amour que l’on se voue 

Remarque quand même

Les marques sur mon corps que tu sèmes

AudreyR

Dis

L’heure passe, 

Mais la scène, tu la repasses. 

Dis-moi ce qui te dépasse

On te sortira de l’impasse.

AudreyR

Elle marchait seule sur le chemin, la musique défilait dans ses oreilles. Seules les notes atteignaient ses pensées, comme une barque qui naviguait sur un long fleuve. 

Son esprit débordait d’idées, de pensées; dans un univers bien plus coloré que sa tenue. Qui pourrait deviner que derrière cette personne habillée sobrement, musique aux oreilles se cachait une personne pétillante. 

Le pire c’est que cette personne pourrait être n’importe qui. Vous, vos proches, des inconnus. La confiance leur manque pour se dévoiler, les doutes les bloquent pour s’ouvrir. Les regards les touchent bien plus qu’ils le montrent, chacun sa réaction quand on l’approche. De la méfiante à la timide qui va paniquer, les réactions sont aussi variées que leurs charmes.

Sa vision est différente certes mais peut-être un rayon de soleil dans votre vie, si elle vous ouvre la porte de son univers. Comme un vent de fraîcheur, elle ravive la flamme de votre cœur. La main sur se dernier pour vous elle comptera pas les heures. 

Donnez-lui un peu de temps, elle vous ouvrira d’autre porte, faites un pas vers elle, elle dessinera un soleil et un sourire. Elle peut se montrer très optimiste sur notre monde mais si pessimiste sur elle-même. Ça la définit bien, admirer le monde extérieur, se passionner des plus petites victoires. Tout en s’enfermant dans son monde où elle peut s’aimer librement, s’accepter, avoir sa place.  

Un drôle de mélange, mais il faut de tout pour faire un monde. Avec notre personnalité, nos qualités, nos défauts, on peut rendre meilleur demain. Je crois que je n’ai pas besoin de préciser que je m’identifie dans mon œuvre. Ensemble on peut avancer, uni on peut trouver la recette de l’espoir. Trop rêveuse ? 

Peut-être, mais j’aime croire qu’on vaut mieux que ce pourquoi la haine de ce monde nous fait passer.     

S'il te plaît 

Ne me laisse pas, 

J'avance pas à pas,

Mais la peine est lourde,

A ma détresse, tu sembles sourde. 

Mais qu'importe, 

L'importance que je te porte

Passe au-dessus,

Les armes seront pas rendu 

Ton sourire est ma force

Tes larmes, une entorse

Pour laquelle je fais un détour 

Car sans toi je ferais aucun tour 

Alors ne me laisse pas, s'il te plaît 

Même si notre amour sonne maladroit 

Et peut paraître simplet 

Nous aimer est un droit

AudreyR

Par peur 

Par peur j’ai dû éviter, 

Le bonheur qui cessait de me désirer. 

Par peur j’ai été abandonné, 

Pour me retrouver seule durant ma randonnée. 

Et si je tentais ? 

Si j’osais avancer ? 

Et si je me pardonné ? 

Pour goûter à un bonheur mérité. 

Par peur j’ai fuis, 

Je ne compte plus les sentiments enfouis.

Par peur j’ai reculé, 

Tant d’idée que j’ai refoulé. 

 Et si je tentais ? 

Si j’osais avancer ? 

Et si je me pardonné ? 

Pour goûter à un bonheur mérité. 

Demain je fais être courageuse, 

Plus rien ne sera une excuse , même la paresse 

Je saurais utiliser mon espoir en compresse

Faire de mon inspiration ma carte maîtresse

Je vais tenter ! 

Je vais me pardonner ! 

Je vais avancer ! 

Oser affronter mes peurs. 

AudreyR